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Cours de déficience intellectuelle (approfondissement) 

Ressentis sur le cours de déficience intellectuelle et ce que je retiendrai : 

 

J’ai trouvé ce cours intéressant et j’ai pu approfondir mon point de vue sur ce thème de « la vie affective et sexuelle » des personnes ayant un handicap.

J’ai pu découvrir des outils crées par des professionnels qui me permettront peut-être d’avancer pendant mon stage si je choisis de travailler sur ce thème.

J’ai trouvé la venue de l’intervenante « Elisabeth PAISMAYE » très constructive de par ses apports pratiques. Le fait de travailler avec des outils graduels (d’abord sur les émotions, puis leurs représentations et enfin aborder le thème de la vie sexuelle si besoin) est je pense important pour que les bénéficiaires puissent se sentir à l’aise.

Je pense qu’il est essentiel que dans les institutions, les bénéficiaires puissent avoir le droit de parler de ce sujet qui peut paraître tabou à des personnes de confiance et ils ont le droit d’avoir des relations affectives ou/et sexuelles au sein des institutions. Il est, je pense plus sûr et sécurisé pour eux d’avoir le droit de voir leur partenaire au sein de l’institution (cadre) plutôt que d’interdire aux bénéficiaires d’avoir des relations ce qui va les pousser à enfreindre les règles ou à se mettre en danger en ayant des relations dans un endroit non approprié.

J’aimerais bien approfondir ce sujet lors de mon stage ou de mon TFE si l’occasion se présente. 

C’était aussi intéressant de se poser des questions par rapport à ses propres représentations (jeu du photo langage) pour pouvoir se positionner et commencer un débat par rapport à ça.

 

 

Rôle d’orthopédagogue ?

-       Travailler dans une institution et essayer de mettre en place un espace de discussion sur la vie affective et sexuelle des bénéficiaires.

-       Prise en charge des besoins des personnes ayant une déficience intellectuelle pour pouvoir amener des outils afin de les aider.

-       Travailler dans un planning familial en lien avec une institution pour des bénéficiaires plus autonomes dans leurs déplacements et leurs relations affectives et sexuelles.

-       Mettre en place des outils dans diverses institutions pour promouvoir la vie affective et sexuelle ou encore le vieillissement des personnes avec une déficience intellectuelle.

Ce que j’ai envie de faire : 

 

Après avoir fini le cours, j’ai eu l'envie de me lancer dans des débuts de projet dans le centre de jour où je suis (à voir avec quels bénéficiaires je vais travailler ?) et si l’institution dans laquelle je suis est ouverte à ce sujet-là.

J’avais toujours eu envie de me lancer dans des études de sexologie alors pourquoi pas associer ma spécialisation en orthopédagogie où j’aurai appris plus le côté « apprentissage, outils et accompagnement à la vie AFFECTIVE et sexuelle » avec ce que j’aurai l’occasion d’apprendre dans des études de sexologie.

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