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Cours sur les enfants malades (approfondissement) 

Ressentis et émotions du cours à option « enfants malades » :

Visite à Liège

Très surprise de découvrir un conseil de classe, une réunion au sein d’une équipe pédagogique aussi grande.

Je ne pensais pas qu’il existait des écoles comme celle-là et je trouve qu’il faudrait vraiment débloquer du budget pour pouvoir en faire plus qu’une en Belgique.

Avoir la chance de créer une classe SSAS est vraiment une main tendue pour les enfants en total décrochage scolaire. Le nombre d’adolescents qui ont pu reprendre des études après prouve que c’est un fonctionnement qui redonne de la motivation et un sens aux études.

Je suis restée assez admirative devant la directrice quand elle nous expliquait tout ce qu’elle avait pu faire pour l’école alors que ce n’était pas spécialement bien vu ou « autorisé » (tout ce qui n’est pas interdit est autorisé). Avoir l’envie de pousser les enfants vers le haut demande beaucoup d’énergie. De plus, elle gère plus de 4000 élèves qui passent tant dans les hôpitaux que dans les classes SSAS.

 

Visite à William Lenox

Ce que j’ai trouvé le plus intéressant c’est le large éventail des cours que les enfants peuvent avoir. Il y a, je trouve, plus de liberté, de possibilité et de budget pour pouvoir laisser libre envie aux enfants de travailler sur un sujet qui les intéresse.

 

Mon ressenti sur ce métier à part pour moi

Pour moi, je ne me sens pas capable d’aller dans l’avenir travailler dans une école à l’hôpital car je trouve que c’est un métier qui demande de l’expérience et de la pratique pour pouvoir être aussi à l’aise dans une « classe » qui change souvent.

De plus, je ne me sens moi-même pas à l’aise au sein d’un hôpital et je pense que je prendrais trop à cœur les histoires des enfants dont je m’occuperais.

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